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p.302 de Ballon, Hamelin

Il existe des preuves solides prouvant que Hamelin avait une autre fille et co-héritière, en plus d’Émeline, qui était la mère de Hugues de Gundeville, administrateur pour Henri II (voir p. 491).
Bevan (2010), FND 3: 193-195

Rosie Bevan
                                                                                              

p.310 fitz Walter, Simon

Simon fitz Walter était le fils de Walter fitz Robert et de Maud de Lucy, pas de Maud de Bohun.
CCR 1263
Voir commentaires de correction (DD) pour la p. 621, de Oilli, Henry [II]

Rosie Bevan
                                                                                              

p.315 de Bellocampo Vicecomes, Willelm

Voir commentaires de correction (DD) pour la p. 725 de Sudeley, Radulf

p.321 de Berchelai, Roger IV

« Il mourut en 1190 en laissant de son épouse Havoise Paynel de Dudley (Mon. Ang. V, 204) un fils, Roger V (†1220) »
Havoise Paynel ne pouvait pas être la femme de Roger IV de Berkeley puisqu’il était décédé en 1196-7, date à laquelle une note d’un rôle de l’Echiquier (Pipe Roll) rapporte que Roger de Berkeley offrit 60 marks pour l’épouser. Il est probable que Havoise Paynel épousa un Roger d’une autre branche de la deuxième maison de Berkeley, lequel mourut en 1230 comme indiqué dans Smyth, ‘Lives of the Berkeleys’.
CP, 12-1: 110, note (c); Maclean (1883), 1: 47

Tim Powys-Lybbe
                                                                                              

p.326 de Bidun, Johannes
« Ses filles étaient Amice, épouse de Hugues de Clinton… »
Amice était l’épouse d’Henri de Clinton, ce qui est correctement indiqué p. 403.

Tim Powys-Lybbe
                                                                                              

p.332 de Bohun, Humfrid IV

« Il mourut v. 1187, laissant… une fille qui épousa Waleran de Newburgh ».
Un tel mariage ne peut avoir eu lieu si l’on prend en considération la chronologie mais aussi le fait qu’à la suite d’une telle union, la consanguinité entre époux aurait rendu impossible un mariage célébré à une génération postérieure. Il est probable que ce soit sa petite-fille Margerie d’Oilly qui épousa Waleran de Newburgh, pas sa fille (voir correction pour la p. 621).

Chris Phillips; Rosie Bevan
                                                                                              

p.336 de Bolonie, Willelm

Selon une charte de son fils Faramus (p. 335) à l’abbaye de Bec, Guillaume avait deux autres fils, Eustache et Simon, et une fille, épouse de Hugues de Boseville (p.341), dont les fils étaient Guillaume et Robert.
Monasticon Anglicanum VI p. 1017

Rosie Bevan
                                                                                              

p.343 de Brai, Luvel

Au lieu de « RRAN I, 956 », il faut lire RRAN ii 956

p.346 de Braose, Philip

« Il mourut entre 1134 et 1155, laissant de son épouse Aanor, fille de Judhael de Totnes, un fils, Guillaume. »
Il avait un autre fils, Philippe, selon des chartes du frère de celui-ci, Guillaume, et deux filles, Gillian épouse de Foulque de Merle, et Basilie (p. 430), épouse d’Eudes de Dammartin, mère d’Eudes, seigneur de Strumshaw (p. 431).
Salzman (1923), n° 3, 9 ; Stevenson (2006), n° 65 ; Pipe Roll 31 Henry I, 94

Doug Thompson
                                                                                              

p.350 de Brisete, Jordan

http://users.ox.ac.uk/~prosop/domesday-descendants-corrigenda.pdf

Katharine Keats-Rohan
                                                                                              

p.351 de Broc, Eustacius

« Père d’Eve, épouse de Guillaume de Chesney du comté d’Oxford ».
Eve fut mariée à Walter de Chesney, comme indiqué dans l’article suivant, Eva de Broc, dans l’article concernant Walter de Chesney p. 369, et comme indiqué dans la citation - Salter, Cartulary of Eynsham, vol 1, nos 78-80.

Adrian Channing
                                                                                              

p.355 de Brus, Agatha

"Fille de Robert Ier de Bruce, épouse de Raoul fils de Ribald. Farrer, 'Early Yorkshire Charters' II, n° 650".
Cette citation montre en fait qu’Agathe était la fille de Robert II de Bruce.

Henry Sutliff III
                                                                                              

p.363 de Cadomo, Robert

« Il épousa Sybille, fille de Raoul de Chesney dont il eut Marguerite… » Il semblerait que Marguerite fût une fille de Robert et de sa seconde épouse Aveline de Hesdin. En tant qu’épouse de Hamon de St Clair, Marguerite fit une donation à l’église de Saint Jean-Baptiste de Colchester pour les âmes de ses parents, Robert and Aveline, « Et hoc feci pro salute anime mee et pro corpore mee illic sepeliendo et pro animabus patris mei Roberti et Aueline matris mee. »
S. A. Moore éd., Cartularium Monasterii Sancti Johannis Baptiste de Colecestria. Roxburgh Club, (1897), 159.

Rosie Bevan
                                                                                              

p.368 de Caisneto, Johannes

Dugdale, Monasticon Anglicanum, IV, p. 14, nos VI, VIII – il faut lire vol V.

Chris Phillips
                                                                                              

p.369 de Caisneto, Sibilla

"Fille de Raoul Ier de Chesney, du Suffolk. Épouse de Robert fitz Walter de Caen".
Farrer [HKF, 3: 314, 316] cite des affirmations contradictoire au sujet des parents de Sybille, tirées de la chronique de l’abbaye de Sibton [citant Dugdale, 1817-30, 3: 636b; 5: 559b] et des notes de Dugdale sur le cartulaire de Coxford [citant Bodleian Library, Dugdale MS 39, ff. 103, 103d]. Ces deux sources font de Sybille la sœur de Jean de Chesney et la fille de Raoul de Chesney, mais la première identifie ce Raoul avec l’un de ceux qui "vinrent lors de la conquête", alors que la seconde mentionne deux Raoul, père et fils. Dans la généalogie reconstituée par Farrer (p. 314), celui-ci fait de Sybille la petite-fille de Raoul, tenancier du Domesday. Comme il semble n’y avoir aucun doute sur le fait qu’il y avait deux Raoul et que Jean de Chesney était le fils de Raoul II, cette affirmation semble correcte.
HKF, 3: 314, 316

Chris Phillips
                                                                                              

p.397 de Clare, Adelicia

Une erreur a été commise puisqu’Adelise est décrite comme la fille de Richard fitz Gilbert de Clare et d’Adelise de Chester, alors qu’à l’article « Ricardus II de Clare » p. 398/399, elle n’est pas mentionnée parmi ses trois filles. Une autre fille non mentionnée est Lucie, épouse du comte Baudoin de Redvers, identifiée p. 658 et p. 245.

Tim Powys-Lybbe
                                                                                              

p.411 de Cornhill, Gervaise

La citation suivante est incorrecte : « Voir Round, Geoffrey de Mandeville, App. E. ».
Il faut lire « Voir Round, Geoffrey de Mandeville, App. K. ».

Tim Powys-Lybbe
                                                                                              

p.411 de Cornubie, Dionisia

« …épouse de Richard II de Redvers, comte de Devon. »
Denise était l’épouse de Richard Ier de Redvers, et Richard II de Redvers était son fils, comme indiqué p. 659.
Bearman (1994), App II, n° 15b

p.425 de Cundet, Robert
« Il épousa Alice ou Adelise, probablement fille de Ranulf Ier de Chester et veuve en 1136 de Gilbert fitz Richard de Clare… »
Le nom est une erreur. Il faut lire Richard fitz Gilbert de Clare, comme indiqué p. 398

Peter Stewart
                                                                                              

p.433 de Dinan, Alan

« A sa mort…il laissa un fils, Roland, et une fille, Emma, épouse d’Alain de Vitré. »
Emma était mariée à Robert de Vitré, et ils étaient les parents d’Alain de Vitré.
VCH (NTH), 3: 181

Cristopher Nash ; Chris Phillips, Rosie Bevan
                                                                                              

Emma était l’épouse de Robert de Vitré, comme rapporté par Robert de Torigny à la mort de Robert de Vitré et la succession de « filius suus Andreas natus ex sorore Rolandi de Dinan ».
Robert de Torigny, Vol. II, p. 46.

Michael Andrews-Reading
                                                                                              

p.436 de Dol, Hadvisa filia Geldewini

"Fille de Gilduin de Dol († 1137) et de Noga de Tinténiac, épouse de Robert fitz Wimund d’Avranches."
Havoise était l’épouse de Robert fitz Guillaume fitz Wimund d’Avranches, comme correctement indiqué à l’article précédent. Voir aussi DD, p. 263, de Abrincis, Robert, et DP, p.490, Willelm filius Wimundi.

Gordon Kirkemo
                                                                                              

p.441 de Dunstanvilla, Rainald

« Sa veuve lui survécut plusieurs années, mais la date généralement acceptée (1114) et/ou la signification de sa donation de Pottern à l’abbaye de Tewkesbury pour le salut de son âme (Mon. Ang, ii. 66l RRAN ii, 1069) doivent être rejetées. Aucune preuve n’indique qu’il y avait un second Rainald et il est clair que Rainald de Dunstanville était vivant en 1121 quand il accompagna l’Evêque Jean de Bath le 30 juin (Cartulaires de Bath, 49) et en 1129. »
La chronologie pose problème dans cette explication. Les petits-fils du Rainald de 1129 semblent être nés vers 1150. Mais Adelise, l’épouse du Reynold dont on place généralement la mort avant 1114 était la fille d’un tenancier du Domesday. Il est possible que plusieurs générations aient été compressées en une en raison du manque de preuves pour cette période éloignée.

Chris Phillips
                                                                                              

pp.449-450 de Essex, Henricus

« Il laissa un fils, Henri, par son épouse Cécile… »
De nombreux indices permettent d’identifier Cécile avec la fille de Roger de Valognes et d’Agnès, fille de Jean « nepos » de Waleran fitz Ranulf (et sœur d’Eustache et de Payen Fitz Jean). Après la confiscation des terres de son mari, elle possédait North Weald Basset, et cinq parts du fief de Valognes en dépendant, dont elle fit donation à l’église du prieuré de Clerkenwell. Ces terres ne peuvent qu’avoir constitué sa portion de mariage et ne faisaient donc pas l’objet de la confiscation. En outre, après la chute d’Henri d’Essex, Agnès fitz Jean accorda 2 fiefs de chevaliers de sa propre portion de mariage à Gunnor d’Essex (sa fille adoptive et petite-fille présumée) à Fulbourne, Teversham, et Westley, Cambridgeshire, dans une charte attestée par de nombreux membres de la famille et de la maison d’Agnès, Comtesse d’Essex, sœur aînée présumée de Gunnor. Il est possible qu’il y ait eu une double alliance arrangée entre les fils et les filles d’Henri d’Essex et d’Alberic de Vere (†1141), car Alice de Vere, veuve de Robert d’Essex, possédait le douaire de la baronnie. Agnès d’Essex avait à l’origine été élevée pour épouser Geoffroy de Vere, mais après avoir refusé cette union, elle épousa à la place de celui-ci son frère, Alberic.
Book of Fees, 578; National Archives E 40/3699; CPX 206

Rosie Bevan
                                                                                              

p.450 de Essex, Henricus filius Henricus

« Fils d’Henri d’Essex…Possédait cinq parts du fief de Robert fitz Walter de Valognes en 1227 et 1236… »
Étant donné qu’Henri fils d’Henri d’Essex attesta deux chartes d’Henri II en 1156 (à Argentan et Rouen) il est peu probable que le Henri d’Essex de 1236 était le même 80 ans plus tard. Ce Henri était le fils de Hugues d’Essex († 1213), frère cadet d’Henri le jeune. Le sujet de cet article semble être mort sans descendance avant 1194, date à laquelle Hugues confirma la donation de sa mère au prieuré de Clerkenwell.
Dodwell (1974), 45 ; Eyton (1878), 20; Rot de Obl et Fin, p. 501 ; Book of Fees, 578 ;
Hassall (1949), 23

Rosie Bevan
                                                                                              

p.450 Robert de Essex

« Fut aussi père de Gunnor d’Essex, qui apparaît lors d’un conflit avec la famille de Valognes au sujet de la possession de Binham (Mon. Ang. iii, 348) ».
Gunnor d’Essex était la fille d’Henri d’Essex et de Cécile de Valognes (voir p. 449/450). Il n’y eut aucun conflit avec la famille de Valognes. Au contraire, Agnès de Valognes avait accordé des terres dans le Cambridgeshire à Gunnor, sa petite-fille, pour subvenir à ses besoins suite à la confiscation des domaines de la famille d’Essex. Une partie de ce don, des terres à Westley qui appartenaient à l’origine à Ely, furent transférées au prieuré de Binham, qui confirma par charte la donation d’Agnès.
PRO E 40/3699 ; VCH (NFK), 2 : 343 ; VCH (CAM), 6 : 177

Rosie Bevan
                                                                                              

p.454 de Faie, Radulf

« reçut d’Henri II, au début du règne de celui-ci, le manoir de Bromley dans le Surrey ».
Il reçut le manoir de Bramley.
VCH (SRY), 3: 4-5, 53, 84

Chris Phillips
                                                                                              

p.459 de Ferrariis, Robert

« … mourut en 1139, et laissa par son épouse Havoise son fils et successeur Robert II, et plusieurs filles, dont... Lætitia, dont la donation d’un moulin à Passenham à Richard Balzan fut confirmée par son neveu Robert II de Ferrers ... »
Cette phrase sous-entend que Lætitia était à la fois sœur et nièce de Robert II Ferrers. C’est plus probablement Robert III qui confirma la donation.

Chris Phillips
                                                                                              

p.472 de Gand, Robert

« Fils cadet de Gautier de Gand, frère de Gilbert II, comte de Lincoln. Il épousa en premières noces Adelise Paynel et en secondes noces Gunnor, sœur et co-héritière de Raoul II d’Aubigné Brito, dont il eut Gilbert (fils de Gunnor, comte de Lincoln par usurpation en 1216, † 1241), Étienne et Avice, épouse de Robert de Beverley, mère de Maurice de Gand ».
Une certaine confusion peut résulter de cet article car Avice était la fille d’Adelise Paynel, pas de Gunnor, et était sa seule fille et héritière.
EYC, 6: 34

Henry Sutliff III
                                                                                              

Ce Robert, époux d’Avice de Gant, est connu sous les noms de :
(a) Robert fitz Robert (fitz Harding). Son père Robert fitz Harding était le premier de sa lignée à obtenir les domaines de Berkeley.
(b) Robert, Lord de Were, dans Lives of the Berkeleys, par Smyth.
(c) Robert de Ghent, après avoir épousé Avice et selon Sanders, Baronies, p. 14.
Robert fitz Robert fitz Harding reçut un très grand nombre de biens, dont Beverstone, à tel point que Smyth dit de lui « ce Robert possédait de son vivant une grande réputation, guère inférieure à celle de son frère aîné messire Maurice, et était accompagné de chevaliers et d’autres serviteurs, d’éminentes familles et estimation. » Il reçut d’Henri II la ville et le château de Malmesbury.
Les mariages de ce Robert fitz Robert sont confus à cause de Smyth, qui pensait qu’il ne s’était marié qu’une fois, avec Havoise de Gurney, et qu’ils avaient eu deux enfants, Maurice de Gant et Eve de Gurnay. Smyth tenta d’expliquer le nom d’Eve en disant qu’elle avait épousé un Gurnay. Le compte-rendu correct se trouve chez Sanders p. 14, note (6) où il est indiqué que Robert fitz Robert fitz Harding épousa (1) Havoise de Gurney et (2) Avice de Ghent /Gant / Gand. Maurice de Gand, fils de Robert fitz Robert fitz Harding, épousa en premières noces Maud d'Oilly et en secondes noces Marguerite Marshall, veuve de Raoul de Somery, et mourut sans postérité en 1230.
Peut-être l’article pourrait-il être réécrit de cette façon :
« ... il eut pour descendants ... Avice, seconde épouse de Robert fitz Robert Fitz Harding, aussi appelé Robert seigneur de Were et Robert de Gand, et mère par Robert de Maurice de Gand, mort sans postérité en 1230 ... »
CP, 12-1: 111

Tim Powys-Lybbe
                                                                                              

p. 472 de Gand Walter

Cet article donne les noms des enfants de Walter et de Mathilde, son épouse, mais omet Agnès de Gand, qui possède son propre article :

p .470 de Gand, Agnes

« Fille de Walter de Gant et de Mathilde de Richmond, épouse de Guillaume II de Moyon. »

Eldon Olson
                                                                                              

p.479 de Gloecestria, Lucia

« Épouse d’Herbert fitz Herbert le Chambellan »
Techniquement, il faudrait lire Herbert fitz Herbert fitz Herbert le Chambellan.

Tim Powys-Lybbe
                                                                                              

p.480 de Gloecestria, Margaret filia Milonis

« Elle contrôla l’héritage de son père jusqu’à sa mort le 6 avril 1197… »
La référence, donnée à la dernière ligne comme étant « Mon. Ang. vi, 34 » et qui devrait être « Mon. Ang. vi 134 », indique en fait que Marguerite mourut le 6 avril 1187 – « Margeria supradicta supervixit dominum suum Humfredum et postea moriebatur sexto die Aprilis anno domini MCLXXXVII ».

Chris Phillips
                                                                                              

p.482 de Gorham, Gaufrid

http://users.ox.ac.uk/~prosop/domesday-descendants-corrigenda.pdf

Katharine Keats-Rohan
                                                                                              

p. 491 de Gundeville, Hugo

« Il épousa Agnès de Falaise, qui semble lui avoir apporté les cinq fiefs de l’honneur d’Arundel, anciennement détenus par Hugues de Falaise. »
Agnès apporta à Hugues une moitié de ces fiefs, étant la fille et co-héritière d’Hugues de Falaise.

« Geoffroy fitz Azzo, qui avait épousé sa « nepta » Agnès, lui succéda à son poste. Cette Agnès, connue sous le nom d’Agnès de Falaise et d’Agnès de Gundoville, était probablement sa petite-fille ; dans ce cas sa tante Agnès, qui possédait Offham à sa mort, était la fille d’Hugues. On ne sait pas avec certitude si Marguerite, fille d’Agnès de Gundeville, veuve de Nicolas de Limesey v.1224/44, était une fille d’Hugues de Gundoville et de son épouse, ou de leur petite-fille ».
Agnès, connue sous les deux noms « de Falaise » et « de Gundeville », était la fille aînée et l’héritière de terres d’Hugues de Gundeville et d’Agnès de Falaise. La mention de la « tante » Agnès qui possédait des terres à Offham à sa mort est peut-être due à une erreur de scribe, car la seule tante qui aurait pu posséder Offham aurait été sa tante Emma (sœur d’Agnès de Falaise). La femme mentionnée sous le nom d’Agnès était plus probablement la mère d’Agnès de Gundeville. Marguerite n’était pas la fille d’Agnès de Gundeville (qui mourut sans postérité), mais de sa sœur Denise, épouse de Richard Murdac.

« Il mourut en 1181 et son neveu Robert lui succéda »
Les successeurs d’Hugues de Gundeville furent ses deux filles Agnès et Denise, bien qu’avant sa mort il ait accordé à ses neveux Robert et Hamelin des fiefs dans ses domaines du Dorset.
Bevan (2010), FND 3: 198-202

Rosie Bevan
                                                                                              

p.493 de Gurnai, Hadvisa; p.303 de Ballon, Roger; p.401 de Clera, Roger

« Épouse de Roger, fils d’Hamelin de Ballon ».
« Fils de Winebald de Ballon, de Caerleon, et d’Elisabeth. De son épouse Havoise de Gurnay il eut trois fils Roger, Hamelin et Arnold ».
Les historiens ne sont pas d’accord sur l’identité des parents de Roger. Sanders (p. 68) indique que Roger était le fils de Winebald, mais si Roger a bien eu trois fils avec Havoise de Gournay, ils ont dû mourir sans postérité, car en 1166 la fille de Winebald, Mabile, était son héritière, et Eve fut l’héritière d’Havoise de Gournay.
Havoise fit don de l’avouson d’Inglescome (Somerset) au prieuré de Bermondsey pour l’âme de son mari Roger, qui peut être identifié avec Roger de Clere, qui mourut sans postérité en 1183/4. Après sa mort, elle passa un accord avec le prieuré de Lewes (sous le nom de Hawisam de Gurneio) par lequel elle donnait aux moines les terres qu’elle possédait à Atlingworth, qu’elle avait reçues en douaire de Roger de Clere pour 8 livres par an, à payer en son manoir d’Englishcombe (Somerset). Un rouleau de la curia regis de 1220 indique aussi que cette Havoise qui fit don de l’avouson était aussi l’épouse de Robert fitz Robert fitz Harding (troisième fils de Robert fitz Harding, seigneur de Berkeley), alias Robert de Ghent. Leur fille Eve confirma la donation à Bermondsey, et fut mariée à Anselme de Gurnay et Roger de Peauton (Pelton). Le fils d’Eve et d’Anselme, Robert de Gournay, fut l’héritier de son demi-oncle Maurice (1184-1230), fils de Robert fitz Robert fitz Harding de Beverstone (Gloucestershire) et d’Alice de Ghent, comme indiqué par Sanders p. 14. En 1220, Robert de Gournay était encore mineur.
CRR, 9: 28; Sanders (1960); Mayr-Harting (1964)

Rosie Bevan; Edward Beaumont
                                                                                              

p. 493 de Gurnai, Hadvisa

« Épouse de Roger, fils d’Hamelin de Ballon ». Havoise était l’épouse de Roger, fils de Winebald de Ballon. Voir p. 303.
Pour « Dugdale, Monasticon v. IV p.95-97 » lire Dugdale, Monasticon v. V p.95-97

p.493 de Gurnai, Milesent uxor Hugonis
« Seconde épouse d’Hugues II de Gournay ». Il s’agit plus probablement d’Hugues III, dont l’article, qui précède, indique qu’il épousa Mélisande.

Eldon Olson
                                                                                              

p.495 de Haia, Muriel Uxor Robert

« Épouse de Raoul de la Haie »
Comme le suggère le titre de l’article, Muriel était l’épouse de Robert, pas de Raoul, de la Haie.

Gordon Kirkemo
                                                                                              

p.503 de Harcourt, Albreda

« Fille de Roland de Harcourt… Épouse de Guillaume II Trussebut ».
p.503 de Harcourt, Ivo
"… il laissa… une fille, Albrède (née v.1120), épouse de Guillaume II Trussebut".
Deux pères différents sont donnés à Albrède.

Cristopher Nash
                                                                                              

Articles de Hastings pp. 505-507

Dans l’ensemble, les deux familles, celle des Hastings de Little Easton et celle du dispensateur du roi, ont été mélangées.
Afin de clarifier les choses, les corrections sont listées ci-dessous, avec une explication plus détaillée de la généalogie des familles donnée après.

Rosie Bevan

Nous remercions tout particulièrement Andrew Lancaster pour nous avoir invités à effectuer ces corrections et pour avoir partagé ses recherches sur la famille http://users.skynet.be/lancaster/Hastings%20of%20the%2012th%20century.html

p. 505 de Hastings, Philip

Apparaît au milieu du XIIème siècle comme témoins d’une charte d’Henri duc de Normandie. Frère de Guillaume et de Raoul. Peut-être fils de Guillaume fitz Robert de Hastings, seigneur de Little Easton († ap. 1166).
Cronne/Davis, RRAN III, n° 823; Douglas, Feudal Documents from Bury St Edmunds, n° 166.
Le fait qu’un Philippe de Hastings apparaisse dans une autre charte de l’abbé de St Edmund indique qu’il était probablement apparenté au sénéchal. Toutefois, la charte reproduite dans RRAN III est considérée comme fausse et donc tout lien de parenté entre Philippe, Raoul et Guillaume de Hastings est incertain.

p. 506 de Hastings, Willelm

Fils de Robert fitz Walter, seigneur de Little Easton. Par son épouse Helewise de Guerres, il eut Robert de Hastings, Guillaume de Hastings, Raoul de Hastings, Alexandre, Jean (Cat. Ancient Deeds, A. 13694) et Béatrice, qui épousa successivement Gilbert Carbonel et Guillaume de Goldingham (Mon. Ang. vi, pp. 972, 1190 ; Rot. de Oblatis, p. 537). Il fut aussi probablement le père d’Amabile de Hastings, sœur de Guillaume, qui épousa successivement Richard fitz Robert Foliot et Raoul d’Exeter (Cart. Old Wardon, p. 326). Il mourut en 1161/2. Sa veuve épousa Gilbert de Picquigny puis (un autre) Guillaume fitz Robert (Fees, 282). Elle vivait encore au début du XIIIème siècle.
Il n’existe aucune preuve que Guillaume fitz Robert et Helewise aient eu un fils nommé Guillaume de Hastings, que ce soit dans A. 13694 ou ailleurs. Les citations données ici ne font pas référence aux enfants de Guillaume, mais plutôt à Maud de Flamville, épouse de Robert de Hastings. Amabel de Hastings était la fille d’Hugues de Hastings était la sœur de Guillaume de Hastings, le dispensateur du roi.

p. 506 de Hastings, Radulf III

Fils de Guillaume fitz Robert de Hastings, seigneur de Little Easton († ap. 1166). Héritier de son grand-oncle Alexandre of Wix c. 1163. Tenancier de son frère Robert de Hastings en 1166. Il apparaît lors d’une enquête de 1188 destinée à établir : 1) si son frère Robert détenait provisoirement un demi-fief à Wix, lequel avait été détenu par Walter Mascerel, quand il était tuteur de Raoul, alors mineur ; 2) si Robert conservait un droit à ce fief en vertu de cette garde (Curia Regis Rolls I, 61).
Raoul fut le premier de cette famille à porter ce prénom.

p. 505 de Hastings, Radulf II

Fils de Robert fitz Walter de Little Easton. Neveu de Maurice de Windsor, à qui il succéda comme sénéchal de Bury St Edmund. Sénéchal de la Reine Aliénor en 1155. Henri II lui accorda des terres à Witham dans le Somerset (PR 2 Henry II, 30). Il mourut avant c.1163, date à laquelle sa veuve Lesceline de Trailly répondit de ses terres dans les Pipe Rolls. Son héritier et successeur en tant que sénéchal fut son neveu Guillaume fitz Guillaume de Hastings, qui fut confirmé à ce poste par Henri II en 1164.
Le Raoul de cet article n’était pas le fils de Robert fitz Walter de Little Easton, mais le fils de Guillaume de Hastings, sénéchal du roi et frère d’Hugues de Hastings, dont le fils, Guillaume, fut l’héritier de Raoul. Ce Raoul fut le premier de cette famille à porter ce prénom.

p. 507 de Hastings, Willelm Filius Hugonis

Fils d’Hugues de Hastings et d’Erneburge de Flamville. Tenancier du comte Ferrers en 1166. Henri de Hastings, fils de Guillaume, apparait à la fin du XIIème siècle (Danelaw Ch., 463). En 1166, il possédait deux fiefs de Robert de Ferrers et un fief de novo du domaine du comte Guillaume de Gloucester. En 1235/6 les deux fiefs et demi de Guillaume de Hastings à Tormarton, « Suthrop » et « Stawell » étaient détenus par l’épouse d’Osbert Giffard, l’épouse de Guillaume de Hastings et Geoffroy Martel (Fees, 438). En 1242 Henri de Hastings possédait un fief du comte Ferrers à Congerstone (Leicestershire) (Fees, 946).
La remarque importante à faire ici est que Guillaume fils d’Hugues de Hastings était la même personne que Guillaume de Hastings le Dispensateur (voir ci-dessous). Le Guillaume de Hastings de 1235/6 dans cet article est Guillaume de Hastings de la famille des Hastings d’Eaton, une lignée différente.

p. 507 de Hastings Dispensator, Willelm

Fils de Guillaume fitz Robert de Hastings, seigneur de Little Easton († v.1162). Héritier de son oncle Raoul de Hastings († v. 1163). Dispensateur royal d’Henri, qui, en 1164/5, la confirma au poste de sénéchal de Bury St Edmund de son oncle paternel (patruus) Raoul Ier de Hastings, une charge que ledit Raoul avait hérité de son oncle maternel (avunculus) Maurice de Windsor. En 1166 il possédait cinq fiefs de Bury St Edmund, et un demi-fief de novo de son parent Guillaume de Windsor à Compton (Surrey). En 1163/4, il rendait compte pour une « terra data » à Witham dans le Somerset. Avant 1162, il est difficile de distinguer Guillaume de son père dans les archives publiques. En 1200, Guillaume de Hastings possédaient cinq fiefs de Bury à Lidgate, Blunham (Bedfordshire), West Harling, Tibenham et Gissing, dans le Norfolk (Jocelin of Brakelond, 120) ; Thomas de (H)astinges devait service au château de Norwich pour Gissing en 1198/9 (Fees, 1328). Vers 1224, son descendant Guillaume de Hastings possédait la sergenterie du dispensateur du roi (« tenet per sergantiam dispensarie regis ») dans le Norfolk et le Suffolk (Fees, 346). En 1226/8 et 1236, Henri de Hastings répondait de la même sergenterie à Ashill dans le hundred de Wayland, le Norfolk, et d’un fief de l’honneur de Clare en 1242 (Fees, 387, 402, 592, 919). En 1242, Guillaume de Hastings possédait un fief d’Eton de Windsor (Fees, 844).
Guillaume le dispensateur du roi n’était pas le fils de Guillaume fitz Robert de Little Easton, mais le fils d’Hugues de Hastings et d’Erneburge de Flamville. Guillaume mourut avant 1182 et ses successeurs furent d’abord Henri († s.p. 1184) puis le frère d’Henri, Guillaume († 1226). Le Guillaume de Hastings mentionné en 1242 appartenait aux Hastings d’Eaton, une famille différente.

 

 

                                                                                              

La famille de Hastings, le Dispensateur du Roi et sénéchal de St Edmund

par Andrew Lancaster, Paul Reed, Rosie Bevan [2002-2016].

L’origine de cette famille peut être retracée assez clairement grâce à diverses successions – le poste de dispensateur royal, le domaine de Fillongley, les terres de Flamville, et la sénéchaussée de Bury St Edmund, qui descendait directement de Guillaume de Hastings († v. 1182) par ses héritiers de sexe masculin, et n’avait rien à voir avec la famille de Little Easton. La preuve finale se trouve dans l’IPM (Calendar of Inquisitions Post Mortem) de Jean de Hastings en 1312, qui liste les domaines appartenant aux quatre successions.
Sergenterie du Dispensateur Royal.
La première personne qui soit apparemment à la tête de la lignée et sur laquelle il existe des documents est Guillaume de Hastings, le Sénéchal du Roi. Cette indication vient de William Dugdale qui tirait ses informations d’une charte de confirmation possédée par Robert Glover, du Somerset Herald. La charte du roi Henri II à Guillaume II de Hastings, Dispensateur du roi, le confirmait dans la possession de toutes les terres que son grand-père, Guillaume de Hastings, sénéchal du roi Henri Ier, et Hugues son père avaient possédée, ainsi que les terres donnée à Robert de Flamville, par le service de deux fiefs de chevaliers, qu’ils pouvaient posséder libre car Henri Ier les avaient données à Hugues de Hastings son père et à son épouse Erneburge, fille d’Hugues de Flamville [William Dugdale. The Baronage of England, 574]. Malheureusement, cette charte, qui pourrait prouver l’identité du fondateur de cette famille, ne semble pas avoir survécu, mais tous les autres détails tels qu’ils sont mentionnés peuvent être prouvés par d’autres sources, telles qu’indiquées ci-dessous.
Le roi Henri II confirma Guillaume II de Hastings († v. 1182) ‘dispensator regis’ au poste de sénéchal de St Edmund (voir ci-dessous). Le domaine dépendant de la sergenterie de dispensateur royal était le manoir d’Ashill, Norfolk, qui en 1212 était possédé par son fils, Guillaume (III) de Hastings, qui y possédait 10 librates – même si en 1205, Ashill était possédé par Jean de Hastings, selon Round. Jean était probablement un proche parent de Guillaume qui le tenait temporairement pour le roi à cause des dettes de Guillaume. Il fut toutefois rendu la même année [Book of Fees, 132; J H. Round. The King’s Serjeants and Officers of State (1911), 223; T. D. Hardy, éd. Rotuli Clausarum, I, 36b]. En 1226, 1235, 1236, et 1242-3, plusieurs enquêtes sur les sergenteries révèlent qu’Henri de Hastings avait reçu du roi l’équivalent de 100 shillings en terres à Ashill soit par le service de dispensateur ou “per seriantiam de panetrie” [Book of Fees, 387, 402, 592, 913]. Quand Jean de Hastings mourut en 1312, l’avouson d’Ashill, parmi de nombreux manoirs et avousons, fut alloué à sa veuve comme douaire.
Le domaine de Fillongley.
Henri de Pytchley rapporte, d’après une liste de chevaliers de Peterborough faite en 1252 par Robert de Swaffham, que Fillongley dans le Warwickshire était le principal fief de terres que Robert Marmion tenait de l’abbé de Peterborough, dont dépendaient “Leire, Shackerston et Odstone” dans le Leicestershire. “Henry de Hastings possède Fillongley avec lesdits vills de Robert Marmion.” [W. T. Mellows éd. Henry of Pytchley’s Book of Fees, 50]. Vers 1190, Le fils et héritier de Guillaume II de Hastings, Henri, donna les terres qu’il possédait à Odestone à Maheu de Charun ce qui confirme l’intérêt de cette famille de Hastings dans la localité [F. M. Stenton (éd.) Documents illustrative of the Social and Economic History of the Danelaw, N° 463]. En 1242/23 Henri de Hastings possédait Fillongley du fief de Marmion pour ¼ de fief de chevalier, pour lequel il fut taxé de ½ mark d’écuage [Book of Fees, 509]. Le manoir de Fillongley apparait dans l’IPM de 1312 de son petit-fils Jean de Hastings, qui le tenait des héritiers de Philippe Marmion pour ½ fief de chevalier. Ses autres vills (terres) de Leire, Shackerstone et Odestone sont aussi consignés, ainsi que leur tenanciers [CIPM 5: n° 412].
L’héritage de Flamville.
Erneburge apporta les terres de Flamville à son mari Hugues de Hastings avant 1129. À l’origine, elles avaient été accordées à son oncle Robert de Flamville par Robert de Limesi, Évêque de Coventry, et consistaient en parts à Birdingbury (Warwickshire), et à Burbage et Barwell (Leicestershire), avec leurs dépendances de Sketchley, Aston Flamville, Willenhall, Stapleton, et des maisons à Coventry pour le service de 2 chevaliers [Pipe Roll 31 Hen I, 87; M. J. Franklin éd. English Episcopal Acta 14: Coventry & Lichfield 1072-1159, 80/81]. En 1161-2 le fils d’Erneburge, Guillaume II de Hastings, est mentionné comme étant en possession de ces fiefs [RBE, 30]. Vers 1242/43 le petit-fils de Guillaume, Henri de Hastings, est mentionné comme possédant de ces deux mêmes fiefs du prieur de Coventry [Book of Fees, 954]. L’IPM de Jean de Hastings, (petit-fils d’Henri, cité ci-dessus) [CIPM 5, n° 412] montre qu’il possédait le manoir de Burbage (Leicestershire) du prieur de Coventry pour un fief de chevalier, le manoir de Barwell du même pour ¾ de fief de chevalier, et Birdingbury (Warwickshire) pour ½ fief de chevalier qui était tenu à vie par Jean Paynel. Il possédait aussi Aston et Stapleton pour ½ fief de chevalier qui était tenu par Robert de Flamville.
Sénéchaussée de la Liberté de St Edmund.
L’un des premiers sénéchaux (dapifer) de St Edmund connus était Raoul, qui reçut les terres de Lidgate et de Blunham et fut confirmé à son poste par Guillaume II le Roux entre 1087 et 1097 [RRAN, I, n° 395]. Entre 1107 et 1119, l’Évêque de Norwich donna à Raoul, sénéchal de St Edmund, et à son épouse Édith, l’église de St Edmund de Hoxne avec ses dépendances, pour aussi longtemps que vivrait celui du couple qui survivrait à l’autre, après quoi elle reviendrait au prieuré de la cathédrale de Norwich [Christopher Harper-Bill éd. Episcopal English Acta 6: Norwich 1070-1214, n° 19].
En 1114-1119 la sénéchaussée était passée à Maurice de Windsor, selon une charte d’Albodus l’abbé, qui lui accorda les terres de Raoul, son prédécesseur, et la sénéchaussée en fief héréditaire pour 3 fiefs de chevaliers, en plus de toutes les terres possédées par Ivo de Gissing pour deux fiefs de chevaliers [D. C. Douglas éd. Feudal Documents from the Abbey of Bury St Edmunds, n° 109]. En 1130, Maurice et sa femme, Édith, donnèrent l’église de St Edmund de Hoxne, qui avait précédemment été refondée par Raoul le sénéchal, et les dîmes de Purleigh au prieuré de la Sainte Trinité de Norwich [Barbara Dodwell, éd. The Charters of Norwich Cathedral Priory partie I, 120]. Ceci indique clairement qu’Édith était l’épouse de Raoul et de Maurice. En 1138, le Roi Étienne confirma Maurice de Windsor dans la possession de tout ce qu’il détenait du temps d’Henri Ier [RRAN III, n° 764].
En 1155, le Roi Henri II confirma à Raoul de Hastings, sénéchal de la reine, et à ses héritiers, la sénéchaussée de St Edmund telle que Raoul le sénéchal et Maurice de Windsor, son oncle maternel, l’avaient possédée [Douglas, Feudal Documents from the Abbey of Bury St Edmunds, n° 87]. Ceci signifiait qu’en tant qu’héritier de Maurice, Raoul de Hastings héritait aussi de l’intérêt sur l’Île de « Sydritheseye » et du fief de Purleigh que Maurice tenait de la Sainte Trinité de Norwich. Dans une charte attestée par son épouse Lesceline de Trailly et par Robert de Windsor, Raoul donna un marc de terre à Otley au prieuré de Wix, avec sa sœur Agnès [Barbara Dodwell éd. The Charters of Norwich Cathedral Priory, I, 162]. Le fait qu’à cette époque, Raoul était aussi sénéchal de la reine, un poste anciennement occupé par Rainald de Windsor, est intéressant. Ceci pourrait indiquer que la mère de Raoul, Maurice et Rainald étaient peut-être frères et sœur.
De la même façon, entre 1164 et 1166, le Roi Henri II confirma à son dispensateur, Guillaume II de Hastings, que la sénéchaussée de St Edmund devaient être tenue par lui et par ses héritiers, dans son intégralité et en paix, avec ses dépendances à Lidgate et Blunham, sénéchaussée que Raoul son oncle (paternel) avait possédée, et que Maurice, oncle (maternel) du même Raoul avait autrefois possédée [« Sciatis me concessisse et carta mea confirmasse Willelmo de Hastyngs dispensatori meo dapiferatum sancti Edmundi. Quare uolo quod idem Willelmus et heredes eius habeant et teneant dapiferatum illum bene et integre et in pace cum omnibus pertinenciis eius in liberacionibus et feodis et innominatim cum Legata et Bluneham et aliis locis et rebus eidem dapiferatui pertinentibus sicut Radulfus patruus eius eum melius habuit et tenuit uel Mauricius auunculus suus eiusdem Radulfi. » [D. C. Douglas éd. Feudal Documents from the Abbey of Bury St Edmunds, n° 89].
En 1166, Guillaume de Hastings possédait cinq fiefs de chevaliers de l’ancienne investiture pour l’Honneur de St Edmund, lesquels étaient détenus par la sénéchaussée de St Edmund [RBE, 392]. Son mariage avec Mahaut, fille et co-héritière de Thurstan Banastre, amena dans la famille sa part de l’héritage des manoirs d’Aston et de Munslow dans le Shropshire [CFR, 1216-1224, n° 194]. La sœur de Guillaume, Amabelle, fut mariée à Richard Foliot, (neveu de Gilbert Foliot, Évêque de Londres) avec un maritagium de £5 alloué à Blunham, et après la mort de Richard, elle épousa Raoul d’Excestre, fils de Walter d’Excestre et d’Emma de Hastings de Little Easton. Ce seul fait indique que les deux familles de Hastings n’étaient pas issues d’ancêtres communs, car la loi canonique relative à la consanguinité aurait empêché un tel mariage. Raoul d’Excestre donna des terres à Purleigh, qu’il avait hérité de sa mère, à l’abbaye d’Old Wardon. Après la mort de Raoul, Amabelle donna à la même abbaye deux shillings alloués d’un moulin de Blunham issu de son maritagium [G. Herbert Fowler éd., The Cartulary of the Cistercian Abbey of Old Wardon, Bedfordshire. 226, 239, 326].
Guillaume II de Hastings était déjà mort en 1182, quand son fils et héritier, Henri, fut amené par Thomas de Hastings, l’oncle d’Henri, à l’Abbé Samson, réclamant la sénéchaussée de l’abbaye qui lui revenait par droit héréditaire. Comme Henri était très jeune à l’époque, Robert de Flamville, son parent, le suppléa jusqu’à ce qu’il soit majeur vers 1190 [J. G. Rokewode éd. Cronica Jocelini de Brakelonda, 20]. En 1188, Henri emprunta 5 marcs à Henri de Cornhill et donna une charte attestée par Hugues de Flamville, de Friton, et Hugues de Flamville fils d’Alain, ses parents [John Horace Round éd. Ancient Charters, Royal and Private prior to AD1200, 90]
En 1194, les pipe rolls montrent qu’Henri était mort sans descendance et que son frère cadet Guillaume III lui avait succédé. Guillaume III devait alors 100 shillings pour obtenir le retour des terres et de la sergenterie de son frère Henri [Pipe Roll 6 Ric I, 63]. En 1205, le Roi Jean rendit à Guillaume, enlisé dans les dettes, ses manoirs de Blunham, d’Ashill et de “Horitel” auparavant possédés par les Juifs [T. D. Hardy, éd. Rotuli Clausarum, I, 36b]. Ses possessions sont confirmées par un feudaire de St Edmund de 1200 qui rapporte qu’il possédait 5 fiefs de chevaliers – 3 à Lidgate, Blunham et Herling, et deux à Tibenham et Gissing [Rokewode, op cit, 88]. Toutefois en 1216, il se rebella contre le Roi King Jean qui ordonna que ses terres dans le Norfolk, le Suffolk et le Bedfordshire soient données à l’abbé de St Edmund [T. D. Hardy, éd. Rotuli Clausarum, I, 265]. Peu après l’accession au trône du Roi Henri III, Guillaume jura de nouveau allégeance au roi et sa sénéchaussée lui fut rendue.
Guillaume mourut avant le 28 janvier 1226, date à laquelle Henri, son fils et héritier, fit un chirographe pour obtenir la saisine de ses terres dans le Warwickshire, le Leicestershire, le Shropshire, le Bedfordshire, le Norfolk et le Suffolk, qui lui furent rendues [CFR, 1224-1234, n° 83, 84]. Henri est mentionné comme propriétaire à Blunham et « Kenemundeswyk » de la liberté de St Edmund en 1242/3 [Book of Fees, 870]. En 1269, le fils et héritier d’Henri, Henri le jeune, mourut alors en possession de fiefs dans le Suffolk et Norfolk dépendant des fiefs de la sénéchaussée de St Edmund [CIPM I, n° 719]. En 1302, son fils Jean, fut forcé d’engager une procédure judiciaire pour la sénéchaussée. Il affirma par serment que Henri de Hastings son père, et Henri de Hastings son grand-père avaient possédé la sénéchaussée en fief héréditaire, mais que la vacance de l’abbé de St Edmund s’étant produite alors qu’il était mineur, celle-ci ne lui fut pas rendue [W. Dugdale éd. Monasticon Anglicanum, III: 160]. De toute évidence, il remporta la procédure, car l’IPM de Jean de Hastings rapporte qu’il possédait des manoirs par la sénéchaussée de la liberté de St Edmund à sa mort. Ces manoirs étaient Tibenham (Norfolk) pour ½ fief de chevalier, Blunham (Bedfordshire) pour ½ fief de chevalier et Lidgate (Suffolk) pour ¼ de fief de chevalier ainsi que Gissing (Norfolk) pour 1 fief de chevalier, dont le tenancier était son parent Nicolas de Hastings [CIPM 5, n° 412].

Hastings Dapifer

Voir aussi l’article sur les Hastings de Little Easton.

Bibliographie

Calendar of Inquisitions Post Mortem [CIPM]
Cronne, H. A. & R. H. C. Davis éds. Regesta Regum Anglo-Normannorum 1066-1154; Vol. III. Oxford : Clarendon Press, 1968. [RRAN III]
Davis, H. W. C. éd. Regesta Regum Anglo-Normannorum 1066-1154: Vol 1 Regesta Willelmi Conqestoris et Willielmi Rufi 1066-1100. Oxford : Clarendon Press, 1913. [RRAN I]
Dodwell, Barbara éd. The Charters of Norwich Cathedral Priory part I. Londres : Pipe Roll Society, 1974.
Douglas, D. C. éd. Feudal Documents from the Abbey of Bury St Edmunds. Londres : British Academy, 1932.
Dugdale, William éd. Monasticon Anglicanum. Londres : Longman, 1817-1830.
Dugdale, William. The Baronage of England. Londres, 1675.
Feet of Fines of the Reign of Henry II and of the First Seven Years of the Reign of Richard I A.D. 1182 to A.D. 1196. Londres : Pipe Roll Society, 1894.
Fowler, G. Herbert éd. The Cartulary of the Cistercian Abbey of Old Wardon, Bedfordshire. Manchester : Bedfordshire Historical Society, 1931.
Franklin, M. J. éd. English Episcopal Acta 14: Coventry & Lichfield 1072-1159. Oxford : Oxford University Press, 1997.
Hall, Hubert éd. Red Book of the Exchequer. Londres : HMSO, 1896. [RBE]
Hardy, T. D. éd. Rotuli Clausarum in Turri Londinensi asservati. Londres : Record Commission, 1833-1844.
Harper-Bill, Christopher éd. English Episcopal Acta VI: Norwich 1070-1214. Oxford : Oxford University Press, 1990.
Mellows, W. T. éd. Henry of Pytchley’s Book of Fees. Northampton : Northamptonshire Record Society, 1927.
Rokewode, J. G. éd. Cronica Jocelini de Brakelonda. Londres : Camden Society, 1840.
Round, John Horace éd. Ancient Charters, Royal and Private prior to AD1200. Londres : Pipe Roll Society, 1888
Stenton, F. M. éd. Documents illustrative of the Social and Economic History of the Danelaw. Londres : British Academy, 1920.
The Book of Fees commonly called Testa de Nevill. Londres : HMSO, 1921-1931. [Book of Fees]
The Pipe Roll of 31 Henry I: Michaelmas 1130: Facsimile de l’édition de 1833. Londres : HMSO, 1929.

                                                                                              

p.516 de Hidun, Johannes

« …l’évêque Robert d’Exeter notifia à Robert fitz Roy d’Okehampton qu’Osbern de Hiduna et son frère Geoffroy avaient donné des terres en devenant chanoines de Taunton, et ce avec le consentement du fils et héritier d’Osbern, Richard (EEA x, 44) ».
Il semble y avoir une erreur de transcription car c’est Othelin qui devint chanoine à Taunton avec son frère Geoffroy, vers 1135, quand son fils et héritier, Richard, hérita de ses domaines, pas Osbern. Voir DP, p.320.

John Ravilious
                                                                                              

p.522 de Humet Constabularius, Ricardus

« Il épousa Agnès de Bellomonte … dont il eut Guillaume du Hommet, Ingeran, Jordan et Agathe, qui épousa en premières noces Guillaume de Fougères († 1187) et en secondes noces Foulque II Paynel »
Selon la chronique, plus récente, de Savigny, où les morts de plusieurs seigneurs de Fougères sont rapportées, Agathe était la fille de Guillaume du Hommet (article sur la mort de son fils Geoffroy, le 14 juin 1212: "Obiit Gaufridus dominus Filgeriarum, filius Willelmi et Agathæ, filiæ Willelmi de Humeto, XVIII kal. julii.").

Peter Stewart
                                                                                              

p.537 de Lacy, Henricus

"Robert mourut sans postérité en 1193, et son héritière fut sa cousine Albrède, sœur d’Ilbert II, épouse de Richard fitz Eustache († 1163)".
Il semble qu’il y ait eu confusion entre la tante et la cousine de Robert. C’est la mère d’Albrède (qui portait le même nom) qui était la sœur d’Ilbert II. Voir p. 536.

Chris Phillips
                                                                                              

p.541 de Langetot, Radulf II

« Sa principale héritière semble avoir été Emma de Langetot, probablement sa fille – elle était la nièce de Mathilde sœur de 'Ranulf' de Langetot – une erreur pour Raoul – selon une charte de Thetford faite par sa fille Muriel (BL Lansdowne 229, fol. 145v). »
Il semble, d’après une charte rapportant un don de terres de Lenborough à l’abbaye de Reading, datée entre 1130 et 1153, par Raoul de Langetot, qu’Emma était la sœur de Raoul. Dans cette charte, Raoul mentionne son père Raoul, sa mère Cécile, et parmi les témoins se trouve sa sœur Emma, et Alice de Chesney. D’un point de vue chronologique, cette Emma avait l’âge que devait avoir la même Emma de Langetot, veuve de Geoffroy Fitz Guillaume et mère de Muriel et de Cécile, comme indiqué dans les Rotuli de Dominabus de 1185, dans lesquels elle affirmait être âgée d’une soixantaine d’années, ce qui la fait naître vers 1125. Toutefois, il semblerait qu’il y ait eu trois Raoul de Langetot d’affilée et que le Raoul qui fit don de terres à Reading était Raoul III.
Kemp (1986-87), 31, n° 261

Rosie Bevan
                                                                                              

p.544 de Lega, Hugo

« Père par son épouse Béatrice, de Bartholomée de Lega fl. 1190-1217/18, dont l’héritière était sa fille Nicole, épouse de Jean Grey de Thurrock… » L’épouse de Jean Grey de Thurrock était la fille de Nicole, Emma, par Roger de Cauz.
CP VI:171-172

Michael Andrews-Reading
                                                                                              

p.548 de Limesi, Gerard

« Il mourut avant 1185, laissant… un fils, Jean, qui mourut en 1193, date à laquelle Basilie, qui épousa plus tard Hugues d’Odingselles († 1239), et Aliénor, qui épousa plus tard David Ier de Lindsay de Crawford († ap. 1219) filles et co-héritières de Gérard étaient encore mineures. »
Quand Jean de Limesi mourut, il laissa trois sœurs et co-héritières, l’aînée étant Amabel, en la personne de laquelle la baronnie Limesi fut investie. Elle épousa successivement Hugues Bardolf († ap. 1203), Jean de Briouse († 1205), Robert de Ropsley († v. 1218), qui chacun répondirent des fiefs de Limesi du vivant d’Amabel. Celle-ci mourut sans postérité en 1213, après quoi la baronnie fut divisée entre David de Lindsay, fils de sa sœur Alice (pas Aliénor), et Basilie et Hugues Odingsells.
Pipe R 7 John, 34; Pipe R 9 John, 136; CRR, 1220, 292

Rosie Bevan
                                                                                              

p.564 de Malpas, Letitia

« Fille et co-héritière de Robert fitz Guillaume (fl. 1086), sœur de Richard Mailard… »
Cette affirmation est en contradiction avec l’article du DP Robert fitz Hugh p. 385, qui dit que Lætitia était l’une de ses filles. La preuve que Lætitia était la fille de Robert fitz Guillaume, est indiquée par le fait qu’elle était la sœur de Richard Mailart, fils de Robert fitz Guillaume, comme indiqué par G. Barraclough, 'The Charters of Anglo-Norman Earls of Chester, c.1071-1237' (Record Society of Lancashire and Cheshire, vol. 126, 1988), n° 13 et 28. Robert fitz Guillaume n’apparait pas dans le DP comme tenancier du comte Hugues ni ailleurs.

Todd Farmerie
                                                                                              

p.566 de Mandeville, Gaufrid II; p.330 de Boclande, Hugo II

« ... il fut tué en 1144, date à laquelle son héritier était Geoffroy III par son épouse Rohèse de Vere. Il fut aussi le père de Guillaume, qui succéda finalement à son frère aîné Geoffroy, de Robert, et d’une fille, Mathilde, qui épousa en premières noces Pierre de Ludgershall et en secondes noces Hugues II de Buckland († 1175). »
Il est peu probable que Mathilde était la fille de Geoffroy de Mandeville. Si elle avait été la fille de Geoffroy, ceci impliquerait deux mariages entre cousins issus de germains à la génération suivante. Le lien familial tel qu’indiqué ci-dessus semble être dû à une mauvaise compréhension de la charte des Comtes d’Essex donnée dans le Complete Peerage v. V p.116/7.

Tim Powys-Lybbe, Chris Phillips, Todd Farmerie
                                                                                              

p.566 de Mandeville, Geoffrey II

http://users.ox.ac.uk/~prosop/domesday-descendants-corrigenda.pdf

Katharine Keats-Rohan
                                                                                              

p.568 de Mandeville, Willelm

http://users.ox.ac.uk/~prosop/domesday-descendants-corrigenda.pdf

Katharine Keats-Rohan
                                                                                              

p.568 de Mandeville comes, Willelm

http://users.ox.ac.uk/~prosop/domesday-descendants-corrigenda.pdf

Katharine Keats-Rohan

« L’année suivante, Béatrice de Say, épouse de Geoffroy fitz Pierre de Ludgershall, fille de Guillaume de Say et de Béatrice, fille de Guillaume Ier de Mandeville, fut reconnue héritière des Mandeville comtes d’Essex »
Il s’agit d’une correction à la correction de cet article par le Prof. Keats-Rohan. Béatrice de Say était la petite-fille de Guillaume de Say et Béatrice de Mandeville, étant la fille de leur fils Guillaume II de Say, comme indiqué p. 681.

Todd Farmerie
                                                                                              

p.577 de Meduana, Gaufrid

« Il épousa Isabelle de Meulan… veuve de Maurice II de Craon... » « Il mourut v. 1170. Son épouse épousa en secondes noces Maurice de Craon. »
Puisque Geoffroy mourut en 1169/70, et qu’elle épousa Maurice de Craon qui mourut en 1196, il est clair que Maurice était son second mari.
ES, 3, table 719, 13, table 133

Mardi Carter
                                                                                              

pp.585-586 Miners

Sur ces pages sont présentées de courtes notices sur trois membres de la famille Miners : Gilbert I, Gilbert II et Guillaume. Les liens de parentés présumés dans les notices font de Gilbert I le père de Gilbert II et de Guillaume. Je remarque que les mots « peut-être » et « probablement » sont utilisé pour indiquer les relations entre les fils supposés et le père. Enfin, Henri est décrit comme le fils de Guillaume et le père de trois filles dont les noms ne sont pas précisés.

J’ai trouvé au moins deux sources secondaires qui offrent une ascendance alternative, à savoir :

  1. Roger de Miners
  2. Henri de Miners
  3. Richard de Miners
  4. Guillaume de Miners
  5. Henri de Miners
  6. Isabelle de Miners
  7. Élisabeth de Miners
  8. Basile de Miners

Mes deux sources sont :

  1. “Collections towards the History and Antiquities of the County of Hereford,” Vol. III, par William Henry Cooke. (p. 47)
  2. “Essays on Archaeological Subjects,” Vol. I, par Thomas Wright. (p. 54)

En addition, j’ai vu plusieurs bribes de sources (recherches sur Google Book) qui indiquent que Gilbert de Miners décida de rester son allégeance française (v. 1204) et de revenir en France. Je cite comme source :

  1. “A History of the County of Cambridge and the Isle of Ely,” Vol. 5, Victoria County History. (Barton Parish: Manors and Other Estates)

Sachant que mes sources sont secondaires, et que l’article du DD semble suggérer une certaine incertitude : quelqu’un peut-il déterminer laquelle de ces ascendances doit être suivie ?

Gordon Kirkemo

                                                                                              

 

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